D’un continent à l’autre, l’auteur Jean-Luc Ansel, créateur de la Cosmétic Valley, raconte ses découvertes.

À l’heure où les consommateurs sont de plus en plus attentifs aux produits naturels, aux origines et à la transformation éco-responsables, plus respectueuses des populations autochtones et du maintien des ressources, qu’apporte donc la cosmétopée ?

Pour Jean-Luc Ansel, elle “constitue une source innovante d’ingrédients cosmétiques inspirés des traditions et certifiant un label ethnique et éthique. Il précise : “Depuis toujours, la cosmétique répond aux besoins vitaux de l’homme : se protéger des agressions extérieures (froid, chaleur, rayons solaires, insectes,acariens…), assumer l’hygiène et l’entretien du corps et de la peau (cet organe représente 17 % du poids du corps), se distinguer et marquer son appartenance à un groupe par l’expression du maquillage de son visage et de peintures corporelles, de teintes de cheveux, d’ongles, parfois même, de dents.
Mais si la cosmétique est ancrée dans d’innombrables cultures depuis des millénaires, ses usages traditionnels restent peu exploités et sont encore source de découvertes”.

Quelle a été la démarche ?

“Elle a consisté à retrouver certaines traditions cosmétiques encore vivantes ou parfois éteintes, faute d’avoir été recensées. Le travail de recherche et ce livre proposent parcours de la cosmétopée sur les cinq continents”.

“L’ouvrage n’a pas l’ambition d’être exhaustif mais il exprime la volonté de jalonner les connaissances,enrichissant par là même notre sensibilisation aux immenses opportunités offertes par la cosmétopée, ces dernières méritant d’être révélées, étudiées et sauvegardées” conclut l’auteur.

Photo de couverture :

Femmes Chin de Birmanie, Sophie Ansel
Masque de Mahoraise, @AdobeStock
Coco nucifera, Jean-Luc Ansel

 

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